TOUT EST DIT

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mardi 1 janvier 2013

60% des Français regrettent le franc

Plus de six Français sur dix continuent de regretter le franc onze ans après l'introduction de l'euro, particulièrement mal-aimé des femmes et des personnes les plus modestes, selon un sondage Ifop pour le site d'informations Atlantico publié aujourd'hui.
A la question "onze ans après l'introduction de l'euro, regrettez-vous le franc ?", quelque 62% des personnes interrogées répondent par l'affirmative avec un taux de 70% chez les femmes contre 54% chez les hommes. "Le premier enseignement de ce sondage est que, contrairement à ce que les promoteurs de l'euro avaient annoncé (...), loin de s'estomper, le souvenir du franc et les critiques envers l'euro sont renforcés, notamment à l'occasion de la crise économique et financière", explique le directeur du département opinion publique de l'Ifop, Jérôme Fouquet, cité par le site.

Il relève que les nostalgiques de la monnaie française étaient "39% seulement en 2002", juste après l'entrée en vigueur de la monnaie unique pour passer ensuite à 48% en juin de la même année. En 2005, les insatisfaits étaient 61%, avant de monter à un pic de 69% en 2010 en raison de la crise.  Le taux de nostalgiques atteint 77% parmi les ouvriers et employés, contre 41% chez les cadres supérieurs et professions libérales.

Le sondage Ifop, publié par Atlantico, a été réalisé par téléphone entre le 18 et le 20 décembre auprès d'un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.

Voeux : Hollande rassemble plus de 11 millions de Français


Les premiers voeux de François Hollande ont été suivis par 11,58 millions de téléspectateurs contre 11,3 millions pour son prédécesseur, en fin de mandat, le 31 décembre 2011, selon Le Point.fr.

François Hollande devance Nicolas Sarkozy pour les voeux de la nouvelle année. L'écart entre les deux hommes est infime: les voeux du nouveau président de la République diffusés par TF1France 2France 3 et M6, ont été suivis par 11,58 millions de téléspectateurs, selon Le Point.fr Il y a un an, Nicolas Sarkozy, en fin de mandat, avait réuni 11,3 millions de téléspectateurs en s'adressant aux Français.
Le chef de l'Etat a été plus suivi sur les chaînes publiques et Nicolas Sarkozy sur les chaînes privées. Dans le détail, ils ont été 3,72 millions sur France 2 à suivre le président socialiste contre 3 millions pour Sarkozy. Même constat sur France 3: les voeux de François Hollande ont été suivis par un peu plus de deux millions de personnes contre 1,7 million pour son prédécesseur.
Le président de la République fait mieux que résister sur M6 puisqu'il devance Nicolas Sarkozy d'une courte tête: 1,85 million de télespectateurs contre 1,7 million pour l'ancien chef de l'Etat. En revanche, Nicolas Sarkozy a réalisé un bien meilleur score sur TF1 où il avait réuni 5 millions de télespectateurs le 31 décembre 2011 conttre 3,96 millions pour François Hollande lundi soir.
C'est normal qu'il y ait plus d'audience, les Français ont de moins en moins de moyens grâce à lui pour partir en vacances, ils sont obligés de s'occuper en regardant des âneries à la TV et surtout de savoir comment il seront encore plus dépouillés...

La CFDT, en flagrant délire de manipulation

La CFDT a beau avoir un super secrétaire général tout neuf - j'avoue, j'aime bien Laurent Berger, que je connais depuis longtemps -, des propositions de réforme à vendre à la pelle, les faveurs de l'Élysée, le rôle d'arbitre dans la négociation à haut risque sur la sécurisation de l'emploi, de nouveaux logo et slogan "jus de crane" tendance seventies - dont beaucoup en interne se demandent combien leur recherche a bien pu coûter en ces temps de crise et d'économies -, elle aussi peut être prise en flagrant délit d'inexactitude, voire diront les mauvaises langues de délire de manipulation... Dans son "petit revendicatif" édition 2013, son kit pour l'action remis à tous ses militants lors de l'AG de mi-mandat de fin novembre et vendu pour la modique somme de 2,95 euros - qui ressemble à s'y méprendre aux "incollables CE1 de mon fils -, la centrale de Belleville a fait une boulette. Et de taille, pour qui se veut irréprochable. 
Dans la page dédiée à l'emploi des jeunes, il est indiqué que "23% des 15/30 ans sont au chômage". Je n'ergote pas sur le chiffre (le taux est monté à 24,2% début décembre) ni sur la tranche d'âge (on parle généralement des 15/24 ans) mais sur l'assertion "sont au chômage". C'est tout simplement... faux ! Non, ce ne sont pas 23 ou 24,2% des 15-24 ans qui sont au chômage mais 23 ou 24,2% des jeunes actifs, c'est-à-dire effectivement sur le marché du travail. Si l'on prend tous les jeunes dans le collimateur, soit de la tranche d'âge (y compris les lycéens et étudiants), le taux de chômage tombe à 9,1%, en hausse de 1 point sur un an, si l'on en croit les données publiées le 6 décembre par l'Insee.


Les conclusions qu'on en tire sont du coup radicalement différentes
. Dans un cas, cela veut dire tout simplement qu'un jeune sur quatre est au chômage. Dans l'autre, moins d'un sur dix. Ce qui change la perception que l'on a du problème et donc les mesures que l'on doit mettre en œuvre pour y remédier. Je ne cherche pas à minimiser le problème, réel, mais juste à le rapporter à ses bonnes proportions. Idem sur le nombre de seniors au chômage, que la CFDT chiffre à 950.000 dans son kit 2013 alors que l'Insee l'estime, dans sa dernière livraison pour les "50 ans et plus", à 533.000 seulement. Soit un delta, en trop, de près de 80%. Qui dit mieux ?

Au-delà de l'anecdote sur l'inexactitude de ces chiffres, le petit revendicatif 2013 de la CFDT est bien fait.
 Il s'agit de 16 fiches (pourquoi 16, et pas 15 ou 20, pour faire un compte rond ?) sur l'emploi des jeunes, des seniors, le pouvoir d'achat, la formation professionnelle, la santé, la retraite, le financement de la protection sociale ou la fiscalité. Avec, côté face, les chiffres clés (à manier donc avec des pincettes), le constat (plus sérieux) et les enjeux (incontestables). Et, côté face, les propositions de la centrale, claires, intéressantes et entendues comme il se doit au plus haut niveau au Château. Allez, joyeux Noël .

Ta cravate, François !

Ta cravate, François !


Un sellier parisien et grand cavalier a imaginé une cravate qui reste collée au torse de son propriétaire... sans tanguer. 
Plutôt que de se moquer de la cravate de François Hollande qui penche tantôt à gauche, tantôt à droite sur les photos officielles, nous proposons une solution radicale à ce petit fashion faux pas ! C'est le sellier parisien et grand cavalier Pierre Guibert qui a eu l'idée de mettre au point cette cravate qui reste collée au torse de son propriétaire sans tanguer. Son petit nom : la Quarter Marker, modèle Jumping. L'équitation est le seul sport où le port de la cravate est obligatoire en compétition de saut d'obstacles ou de dressage. Soumise aux mouvements du cavalier, elle bouge et peut alors le gêner lors de son parcours. Pour éviter qu'elle ne tangue ou ne lui fouette le visage dans le feu de l'action, la maison Guibert a inventé et déposé un système exclusif dit "jumping".

Sur le revers du grand pan de la cravate se trouve un système d'attache avec une patte coulissante. Il suffit de l'arrimer à un bouton de la chemise afin de garder en toute circonstance la cravate parfaitement en place. Et ce, quelle que soit la fougue du cavalier ou... du cravaté. Cette astucieuse cravate a été mise au point avec la complicité du grand champion d'équitation Patrice Delaveau. Il l'a testée avec succès sur des sauts d'obstacles de plus de 1,50 m.
Nous n'en demandons pas tant à notre président, mais s'il adopte cet accessoire chic et futé, il ne fera plus les choux gras de la presse et du site satirique www.francois-tacravate.fr à cause d'une cravate qui lui joue des tours. Et, cocorico, elle est 100 % française ! Taillée dans un jacquard 100 % soie et réalisée à la main, elle est constellée du motif Quarter Marker, l'emblème de la maison inspiré du pochoir appliqué sur la croupe des chevaux de course. De quoi être aussi chic en selle que sous les ors de la République. À bon entendeur...
ET UNE PINCE À CRAVATE C'EST POUR LES CHIENS ? 
QUAND ON VOUS DIT QUE LES SOCIALISTES 
N'ONT PAS D'IDÉE !

Tout ce qui augmente en 2013


Il y a les bonnes augmentations (Livret A, Smic, RSA...) et les mauvaises hausses (énergie, timbres, transports et même bières). Tour d'horizon.

D'abord, les tarifs du gaz et de l'électricité augmente respectivement de 2,4% et de 2,5%.
Ensuite, les transports. Le prix de la course en taxis est majorée de 2,6%. La Régie autonome des transports parisiens (RATP) relève les prix de ses tickets de 2,4% en moyenne. Par exemple, le pass mensuel deux zones passe à 65,10 euros au lieu de 62,90 euros et le carnet de tickets à 13,30 euros au lieu de 12,70 euros. Le billet à l'unité reste à 1,70 euro mais, acheté dans un bus, il coûte 2 euros. La SNCF relève les prix de ses tickets de 1,9%. Et les automobiles émettant entre 135 et 140 grammes de CO2/km sont désormais taxées à hauteur de 100 euros, le malus pouvant atteindre jusqu'à 6.000 euros (200 g/km).
Enfin, le timbre "rouge" passe de 0,60 à 0,63 euro et le "vert" de 0,57 à 0,58 euro. La redevance TV augmente de 6 euros pour la métropole (131 euros) et de 5 euros en outre-mer (85 euros). Les assurances augmentent de 2 à 7%. Et les amoureux de la bière vont payer plus cher leur demi, en raison de l'augmentation des droits d'accises. Selon les Brasseurs de France, il pourrait valoir jusqu'à 3 euros. Bercy a calculé une hausse de 5,5 centimes pour 25 cl.

Les hausses qui font plaisir

De prime abord, plusieurs allocations progressent. Le Revenu de solidarité active (RSA) passe à 483 euros pour une personne seule sans enfant, 724 euros pour un couple sans enfant. Les plafonds de ressources ouvrant droit aux prestations familiales sont revalorisés de 2,1% et les aides au logement (APL) croissent de 2,15%. L'allocation de solidarité spécifique (ASS), l'allocation équivalent retraite (AER) et l'allocation transitoire de solidarité (ATS) augmentent également.
Pour leur part, les travailleurs payés au salaire minimum (Smic) vont gagner 9,43 euros l'heure, soit 1.430,22 euros bruts mensuels pour 35 heures par semaine.
En dernier lieu, le plafond du Livret A est relevé de 25%, le montant maximal de dépôt est ainsi porté à 22.950 euros.
QU'EN EST-IL DES RÉDUCTIONS DES DÉPENSES PUBLIQUES ?

Nouvelle année : ouvrons les yeux sur la vraie situation de la France

En cette nouvelle année, il est temps de cesser de se mentir et de regarder dans les yeux la situation de la France, telle qu'elle est, pour enfin réformer. 

Je n’ai jamais vu circuler autant de désinformation, et ce dans tous les domaines, sur l’état de santé véritable de la France. Au point que je finis par me demander si ce n’est pas moi qui, victime d’une sorte de délire de la persécution, m’invente un monde fictif dont la présence des plus virtuelles n’aurait de fait aucune réalité.
Finalement, peut-être vaudrait-il mieux que je sois seul à constater, en France, la montée inexorable d’un chômage de massela perte tragique et continue de compétitivité de notre économiele déluge d’impôts et charges divers propres à étouffer toute velléité de croissance, le refus idéologique de réformer en profondeur...
Et que dire du niveau de la dette publique qui, dit-on, aurait miraculeusement baissé de quelques milliards riquiqui alors que l’État, depuis bientôt quarante ans, ne cherche visiblement même plus à combler un déficit budgétaire qui, année après année, ne cesse d’alimenter ladite dette publique aujourd’hui évaluée à 90% du PIB ?
L’objectif des 3% de déficit du PIB autorisés par Maastricht qui devait être atteint en 2013 ne sera certainement pas tenu; en effet, comment espérer gagner un tel pari en l’absence de toute croissance et, plus grave encore, en s’abstenant de lancer les réformes structurelles visant à assurer et consolider notre avenir sur le long terme ?
Car si des réformes soi-disant de structure sont actuellement concoctées, il ne s’agit en aucun cas de réformer le pays pour lui permettre de figurer enfin en bonne place parmi ses pairs mais, en toute priorité, de s’attaquer aux valeurs millénaires qui le fondent pour le désarmer dans le but de mieux l’asservir. C’est grave docteur ?
Suis-je le jouet d’hallucinations quand Standard & Poors et Moody’s (en attendant Fitch Ratings) privent la France de son AAA? Le suis-je toujours aujourd’hui quand la perfide Albion, après seulement huit mois de gestion socialiste (et, soyons justes, dix ans de fausse droite), s’empare de notre sacro-sainte cinquième place mondiale ?
Aussi, comment soigner cette affection honteuse qui fait que je serais seul à voir, dans mon isolement, des choses a priori vraies que nul autre, jusqu’au sommet de l’État, ne serait alors capable d’imaginer au motif qu’il serait, lui, sain de corps et d’esprit ? Pour guérir, peut-être faudra-t-il alors attendre que le ciel nous soit tombé sur la tête !
Un éclair de lucidité dans mon délire me permet, certes fugacement mais de bon cœur, de vous souhaiter une excellente année 2013 en promettant de tout faire pour sortir de l’impasse dans laquelle je suis enfermé. Puissent aussi (et surtout !) les dieux libéraux se pencher sur notre pays et permettre ainsi aux Français de répudier le socialisme.

Hillary et Barack sont les plus admirés par les Américains

Selon un sondage de l'institut Gallup, les soldats américains et les institutrices de Newtown sont aussi cités en exemple par leurs concitoyens. 
Ils sont des habitués du haut du classement. Cette année encore, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et le président Barack Obama arrivent en tête des femmes et des hommes du monde les plus admirés par les Américains, d'aprèsle sondage annuel Gallup* paru ce lundi dans le quotidien USA Today.

Hillary Clinton, reine du classement

Pour la onzième année consécutive, 21% des Américains sondés choisissent Hillary Clinton, qui devance la First Lady Michelle Obama (5%) et l'animatrice américaine Oprah Winfrey (4%). De quoi remonter un peu le moral de la secrétaire d'Etat qui doit quitter son poste le mois prochain, et qui est en ce moment hospitalisée après avoir été victime d'une thrombose (caillot sanguin). Elle est d'ailleurs, historiquement, celle qui a le plus souvent occupé la tête du tableau (17 fois), devant Eleanor Roosevelt (13 fois). A noter aussi que la reine Elizabeth II possède le record de longévité au sein du Top 10 chez les femmes, où elle apparaît pour la 45e fois.

Barack Obama plébiscité

Du côté des hommes, le président américain rafle la mise pour la cinquième fois consécutive. Réélu en novembre, il est en effet mentionné par 30% des personnes sondées - soit presque deux fois plus que l'an dernier- devant le héros sud-africain de lutte anti-apartheid, Nelson Mandela (3%), et l'ex-candidat républicain à la présidentielle, Mitt Romney (2%).

Les institutrices de Newtown citées

Si ce nouveau classement offre finalement peu de nouvelles têtes, les sondés rendent également hommage aux anonymes qui ont marqué leur année: selonUSA Today, le sondage ne prend certes en compte que les individus, et non pas les groupes, néanmoins 2% des Américains interrogés ont élu les institutrices de l'école de Sandy Hook de Newtown (Connecticut), qui ont sacrifié leur vie pour tenter de sauver celle des enfants lors de la fusillade. D'autres ont également cité les «soldats américains» dans la liste des hommes les plus admirés.
* Ce sondage a été réalisé par téléphone sur un échantillon de 1038 adultes américains, entre le 19 et le 22 décembre 2012.

ALORS QU'EN FRANCE ON ADMIRE SY NOAH ET GAD EL MALEH

Bon et saint 2013

Bon et saint 2013


On peut dire que l’année 2013 s’annonce mal. « Mariage » gay, avortement remboursé à 100 %, menaces supplémentaires sur les embryons humains, mainmise croissante de la culture de mort sur les âmes de nos enfants… Comment s’étonner qu’il y ait en outre la crise, crise née du refus de la vie et de la stabilité familiale, du vieillissement de l’Europe qui a tourné le dos à la source de tout bien ? Comment ne pas comprendre que nous faisons face au Non serviam initial et infernal porté à des dimensions sans précédent, un non serviam qui s’attaque aux fondements même de notre société ?
Au point que l’on serait tenté de se demander : peut-on encore parler d’« an de grâce » ?
Mais précisément, tout est grâce. C’est-à-dire que tout peut et doit concourir au bien auquel chacun est appelé : le salut, le bonheur éternel. Les menaces de 2013 sont autant d’appels à l’action ici-bas, une action dont nous savons les conditions de réussite. « Cherchez d’abord le royaume de Dieu, et tout le reste vous sera donné par surcroît. »
Les premières armes à fourbir dans ce combat sont spirituelles, et elles sont à la portée de chacun. C’est le message de Fatima : le rosaire peut plus que nos initiatives humaines… pour importantes qu’elles soient.
2013 sera une année de prière et de combat, de combat et de prière, au cours de laquelle Présent espère pouvoir, malgré les difficultés du temps, continuer à vous informer, vous alerter, vous soutenir, vous éclairer.
Ce qui me permet de vous dire que 2013 sera une bonne année, forcément, dès lors qu’elle nous verra unis au service du vrai, du bien et du beau.

Abêtissement et idôlatrie

Abêtissement et idôlatrie




Tiens, une information importante de cette fin d’année porte sur le choix des «personnalités préférées des Français » ! Selon le sondage traditionnel JDD, les 5 premières sont Omar Sy, Gad Elamleh, Yannick Noah, Jamel Debbouze, Jean Dujardin. Première caractéristique de cette liste : tous des comiques surmédiatisés. La France aurait-elle tant envie de rire et de s’amuser ? De noyer ses tracas dans la rigolade ? Ne figure dans les 5 premiers aucun responsable public ou privé, écrivain, grand professeur ou reporter, scientifique, musicien et ni même de sportif de haut niveau, voire emblème de générosité, à l’image de l’Abbé Pierre jadis. Cette liste serait-elle un signe supplémentaire de triomphe de la dérision, de déclin des valeurs ? Exprimerait une sorte de vide intellectuel, de néant, de nihilisme, d’absurdité, d’abîme télévisuel ? Autre interrogation : quelle est la part de la manipulation derrière cette information? « Dans une série de 58 noms, les interviewés ont eu à choisir parmi ceux qu’ils connaissent, les 10 personnalités qui comptent le plus pour eux ou qu’ils aiment le mieux. » Voilà qui rassure un peu : le sondage a un caractère orienté, pour ne pas dire imposé. Il est ainsi demandé aux sondés de choisir dix noms qu’ils (re)connaissent dans une liste préétablie d’une soixantaine de personnalités … Et sur la base des figures les plus souvent citées est produit ce classement. Est-ce vraiment une question de « préférence », ou bien de conditionnement médiatique ? Les Français savent-ils qu’ils comptent parmi eux des hommes et des femmes d’exception, de grands philosophes, historiens, hommes de lettres, des physiciens, des mathématiciens et des médecins les plus renommés de la planète, des inventeurs et des innovateurs, des créateurs d’entreprise, des personnalités qui consacrent leur vie aux autres, sans ostentation, au développement de l’Afrique, à la lutte contre la pauvreté et le chômage, et tout simplement des individus lambda, héros  du silence et de la discrétion, qui se consacrent  jour et nuit à la passion de leur métier?  Il faut en finir de toute urgence avec l’abêtissement et l’idolâtrie  qui marchent de pair. Vaste programme…

Ça sent le sapin !

Ça sent le sapin ! 

C’est la fin de l’année 2012. Elle avait pourtant si bien commencé pour la gauche ! Le PS était sûr de gagner les élections et François Hollande avait battu Nicolas Sarkozy avec 51,67% des voix. Moins que prévu, plus que suffisant. Malgré une campagne courageuse, l’ancien président ne pouvait que perdre vu l’état d’impopularité dans lequel il avait coulé. Il est ironique que 8 mois plus tard, il soit déjà devenu le favori du scrutin de 2017 et que les français qui lui ont tant craché à la gueule s’inclinent jusqu’à l’implorer de revenir.

La roue tourne !

L’heureux élu de mai y a mis du sien. En gouvernant si peu et si mal, François Hollande s’est déjà mis le pays à dos et se retrouve dans la même situation que son prédécesseur il y a un an. Mais bien plus tôt. Là où Nicolas Sarkozy avait attendu janvier 2008 pour plonger dans les sondages, François Hollande a à peine tardé jusqu’en août 2012 pour inquiéter ceux qui ont fait l’erreur de voter pour lui. Il y a eu les couacs des ministres. Il y a eu l’assassinat de « l’héritage ». Il y a eu l’hyperdiscrétion. Avec 40% d’opinions favorables, ce ne fut pas une bonne année.
Ça sent le sapin, et ce n’est pas pour faire un stupide jeu de mots avec le nom du non moins stupide ministre du travail. Sur le plan économique, la crise continue et la croissance diminue et la compétitivité stagne et le chômage s’envole. Sur le plan social, les plans sociaux se multiplient et les conventions collectives n’y arrivent pas alors que le redressement productif et le dialogue concerté n’arrivent pas. Sur le plan sociétal, le gouvernement sème le trouble et la division avec le mariage homosexuel et la légalisation du cannabis. Sur le plan international, la France part d’Afghanistan et sort des lieux où se fait la décision.
Elle critiquait la droite et c’est à son tour d’être critiquée. La gauche cherche un héros or elle n’a trouvé qu’un zéro en la personne de Jean-Marc Ayrault pour occuper le poste de 1er ministre. Les prétendants sonnent déjà à la porte pour le remplacer. Martine Aubry, si elle passe aux élections municipales de 2014 à Lille. Arnaud Montebourg, s’il retourne avec Audrey Pulvar sa meilleure VRP. DSK, si les call-girls qu’il a testées puis approuvées le lâchent enfin avec leurs procès. Manuel Valls, sauf s’il s’entête à vouloir devenir président de la république.

Se refaire en 2013 !

Les années d’alternance sont des années de paradoxe. En première partie, l’ancienne opposition a le beau rôle et la majorité sortante est en mauvaise posture. En deuxième partie, la majorité entrante se casse la gueule et l’opposition nouvelle relève la tête. Cela dénote une incapacité de nos dirigeants à gouverner la France. François Hollande voulait faire exactement l’inverse de Nicolas Sarkozy et il l’a fait : il est hyperabsent, ultramodeste et détruit tout ce qu’il a construit. Du paquet fiscal à la réforme territoriale en passant par le style présidentiel. Or il est aussi impopulaire et inefficace. Sans doute parce qu’il a fini par se rallier aux mêmes solutions, sur le traité européen comme sur les roms et sur Mittal comme sur la TVA sociale.
2012 restera comme une annus horribilis dont la droite en aura eu plein le cul. Elle y a perdu tous les pouvoirs : la présidence, l’assemblée nationale, les médias. Elle ne s’est guère récupérée depuis : la guerre des chefs l’a mise au fond du seau avec ce final abracadabrantesque qui n’arrange personne. L’avenir de l’UMP est ambivalent. Soit il est passionnant avec la grande reconquête des pouvoirs perdus à mener. Soit il est désolant avec une suite de défaites et de roustes à venir qui mettraient en danger sa survie. Ou lui feraient vivre une génération perdue.
Ça va mal finir, mais on ne sait pas encore pour qui. La suite du quinquennat devrait donc nous passionner à défaut de redresser la France. Le pays est embarqué pour 5 ans avec une équipe de perdants or l’offre alternative n’a pas un moral de vainqueur. Le retour de l’indispensable Monsieur Sarkozy est souhaité par tous mais peu souhaitable et le départ du regrettable Monsieur Hollande est espéré de tous mais inespéré. 
Il ne nous reste donc plus que nos yeux pour pleurer aux pieds du sapin de Noël, avec les rares cadeaux qu’on pourra s’offrir.

Merkel prédit une année 2013 encore plus dure que 2012

La chancelière allemande appelle ses concitoyens à la «patience» et au «courage» dans ses voeux pour la nouvelle année. Elle estime que la crise de l'euro est «loin d'être surmontée». «L'environnement économique ne sera pas plus facile, mais plus difficile l'an prochain.» Dans son allocution pour la nouvelle année, qui doit être diffusée à la télévision ce lundi soir, la chancelière allemande Angela Merkel douche tout espoir d'une sortie du tunnel en 2013. Elle appelle même ses concitoyens à la «patience» et au «courage» pour affronter la crise. «Cela ne doit pas nous décourager, mais au contraire nous stimuler», juge toutefois la dirigeante de la première économie européenne.

Tandis que François Hollande ne boudait pas son plaisir lors du dernier sommet européen à Bruxelles, mi-décembre, en affirmant que «la crise de l'euro est derrière nous», Angela Merkel le contredit sans détour. «Les réformes que nous avons décidées (en Europe) commencent à produire leurs effets. Mais nous avons encore besoin de beaucoup de patience. La crise est encore loin d'être surmontée», estime la chancelière. Au passage, elle prend aussi le contrepied de son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, qui estimait dans un entretien au magazine Bild la semaine dernière que «le pire est passé».
Même si l'Allemagne bénéficie d'une conjoncture meilleure que la plupart de ses partenaires européens, elle commence à se laisser gagner par la morosité ambiante. Le pays a ainsi enregistré une croissance de son produit intérieur brut (PIB) de 0,2% au troisième trimestre, après +0,3% au deuxième trimestre et +0,5% au premier. La Bundesbank a d'ailleurs révisé à la baisse, début décembre, ses prévisions de croissance en 2012 et 2013. La banque centrale anticipe une hausse de 0,7% du PIB pour 2012, contre 1% précédemment, et une progression de seulement 0,4% pour 2013 contre 1,6% jusqu'à présent. Elle prévoit toutefois un retour à une croissance plus soutenue en 2014. Dans ce contexte, Angela Merkel - qui cherchera à obtenir un troisième mandat lors des élections de septembre - s'est tout de même félicitée de la chute du chômage, au plus bas depuis la réunification.

Espoir d'un rebond en 2014

L'espoir allemand d'un rebond en 2014 est partagé par l'Espagne, à nouveau engluée dans la récession depuis fin 2011. Le chef du gouvernement espagnol,Mariano Rajoy,a déclaré vendredi qu'il s'attendait à une année 2013 «très difficile» pour son pays, mais a affirmé espérer que la situation économique s'améliorera au second semestre. «Nous devons poursuivre les réformes que nous avons engagées», a-t-il déclaré à la sortie du dernier Conseil des ministres de 2012. Frappée par un taux de chômage record de 25%, secouée par le sauvetage de ses banques trop exposées au secteur immobilier sinistré, l'Espagne a étéfortement chahutée sur les marchés cette année.
«Austérité et réformes sont les deux ingrédients d'une politique dont l'unique objectif est de retrouver la croissance pour pouvoir créer des emplois le plus vite possible», selon Mariano Rajoy. Une recette qui finira par porter ses fruits, assurent certains économistes. Jacques Attali, le président de la fondation PlaNet, a estimé la semaine dernière que les années 2014 et 2015 pourraient être «de bonnes années» sur le plan économique. L'expert prévoit ainsi que «la crise économique aux Etats-Unis va s'estomper», que «la Chine va redémarrer» et que «l'Europe va recevoir les fruits de ses énormes réformes».
VOILÀ QUI DIFFÈRE SINGULIÈREMENT DU "DISCOUR" DU NUL DE TULLE 


IL

 NOUS APPARAIT, RAIDE,  L' OBELIX DE DEPARDIEU PLANTÉ DANS LE CUL
IL EST MONOLITHE.

Le pays est dans une crise très grave, ceux qui ont encore de l'argent, le gardent
ceux qui n'en on jamais eu n' ont aucun espoir.

 l'explosion du chômage avec 240 000 demandeurs d'emploi supplémentaires  en sept mois, confirme une absence de vision de l'avenir sur le long terme.

Hier le triste sire planté devant un pupitre nous a fait un numéro d'autosatisfaction, en disant qu'il avait trouvé le Pays  "Avec une crise historique, un chômage qui progresse implacablement depuis près de 2 ans et une dette record." (encore une fois l'anti-sarko revient)

Refusant cette fatalité, il nous affirme : ""cette stratégie n'est pas la bonne et une autre politique est possible". Que ne l'a t'il changée avant ?

Et de nous mentir : Mais ce soir je veux vous dire ma confiance dans notre avenir: la zone euro a été sauvegardée et l'Europe a enfin mis en place les instruments de stabilité et de croissance qui lui manquaient. Ce résultat semblait, il y a encore 6 mois, hors de portée. Il a été atteint. (merci Angela Merkel, merci Nicolas Sarkozy)
Ma confiance, elle est surtout dans la France. (quel beau Français !) Je connais le talent de nos entrepreneur s comme de nos salariés. Mon devoir, mon premier devoir, mon seul devoir, c'est faire que notre pays avance et que notre jeunesse retrouve espoir
C'est pourquoi, j'ai pris, depuis mon élection, avec le gouvernement de Jean-Marc AYRAULT, trois décisions majeures La première, c'est le rétablissement de nos comptes publics. Je veux désendetter la France. Un effort a été demandé. Je sais ce qu'il représente après déjà tant d'années de sacrifices. Je vous assure que chaque euro prélevé sera accompagné d'une lutte drastique pour réduire les dépenses publiques inutiles. L'argent des Français est précieux. Chacun d'entre vous le gagne durement. Il doit donc être au service d'un Etat exemplaire et économe. La deuxième décision, c'est le pacte de compétitivité. Je veux redonner, dès 2013, des marges de manoeuvre aux entreprises grâce à un crédit d'impôt de 20Mds euros pour leur permettre d'embaucher, d'investir et d'exporter. La troisième, c'est la maîtrise de la finance: la Banque publique d'investissement est créée, la prochaine loi bancaire nous préservera de la spéculation et la taxe sur les transactions financières sera introduite au niveau européen dès l'année prochaine. Cette marche en avant ne s'est pas faite sans soubresaut ni contretemps. J'en conviens. Maisle calendrier que j'ai fixé c'est de faire les réformes maintenant pour sortir de la crise plus vite et plus fort. Ces décisions étaient indispensables, elles avaient été trop longtemps différées. Je les ai prises avec esprit de justice.

Enfin ce Monsieur nous parle de justice fiscal, du revenu du capital sont désormais taxés comme celui du travail.
De justice sociale qui profite aux ber, arabes, nègres, tous sans papiers, avec l'augmentation du SMIC du RSA et de l'allocation de rentrée scolaire, le droit de partir à la retraite à 60 ans pour ceux qui ont commencé à travailler tôt.

Le coup de la justice entre les générations, avec des enseignants plus nombreux et mieux formés ( son électorat)

ENFUMAGE

2012 a donc été l'année où "ensemble" nous avons engagé le redressement (OÙ ?)

2013 sera l'année de la mobilisation de tous pour réussir.

Que veut faire le gus ?

Inverser la courbe du chômage en un an….il rêve.
Surtout avec 150 000 emplois d'avenir; le senior aidant le junior à lui piquer sa place ! 

Après cela le babille se transforme en bouillie "patriotico-vantarde" sur le rôle de la France dans le Monde

etc etc…..

Et bonne nuit, les bobos les sociales les gogos qui ont voté pour lui. 
ET SURTOUT PAS DE CAUCHEMAR ON EST DÉJÀ DEDANS !!!


Et s’il n’y avait qu’une chose à en retenir, pour vous, David Pujadas, ce serait quoi ?


Le boson de Higgs constitue l'évènement marquant de l'année 2012 pour le présentateur de France 2.
L'évènement le plus marquant de l'année 2012 est, selon moi, la découverte du boson de Higgs, c'est-à-dire la confirmation expérimentale de son existence même. Il s'agit d'un grand pas en avant : celui de la découverte de l'infiniment petit qui nous renvoie vers l'infiniment grand.
A l'époque, nous en avions fait l'ouverture du journal de 20H sur France 2. J'ai toujours tendance à penser que nous surévaluons les petits évènements matériels de l'ordre de l'économie avec cette obsession matérialiste qui fait que le moindre chiffre sur la croissance, l'emploi ou la consommation devient rapidement un sujet ultra-médiatisé. Il en est de même avec l'actualité politique qui fascine ou suscite la passion en ce qu'elle renvoie à une dimension de "jeu" ou de stratégie.
Il faut contrebalancer tous ces sujets avec les grands thèmes relatifs aux connaissances que ce soit sur l'univers, le monde ou l'environnement. La découverte du boson a d'ailleurs été assez médiatisée notamment parce que le CERN, l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire, le centre de recherche franco-suisse, est à l'origine de sa découverte et que le grand accélérateur de particules utilisé est le plus grand au monde. Mais globalement, nous ne parlons pas assez de ce qui devrait être une de nos consoles : la connaissance de notre monde.
Lorsque nous avions mis ce sujet à la une, certains s'en étaient étonnés et nous ont posé la question suivante : "qu'est-ce que cette découverte change concrètement pour nous ?". Je répondais alors que tout ne s'évalue pas ainsi. La connaissance, en tant que telle, est fondamentale : c'est toute la noblesse du savoir. Lorsque nous avons découvert que c'est la Terre qui tourne autour du soleil et non l'inverse, cela n'a rien changé dans notre vie quotidienne. Pourtant, ce fut une incroyable découverte pour l'Homme. Nous avons trop souvent les yeux tournés sur notre nombril, notre vie matérielle, les objets, les marques... sur tout ce qui est censé donner sens à la vie, mais n'en donne pas.
Autre fait marquant, l'Europe est parvenue à se mettre d'accord pour sauver sa monnaie commune. Au-delà de la crise financière et économique, il y a une très forte dimension politique : l'Allemagne, la France, l'Italie ou encore la Banque centrale européenne étaient unanimes pour sauver ce qui a été construit et se sont battus pour  que la zone euro devienne pérenne... Ces discussions, jours et nuits, ces sommets en chaîne, ces concessions de la part de chacune des parties et ces accords révèlent quelque chose d'important sur cette Europe trop souvent dénigrée et qui, finalement, a une très grande valeur.
Certes, les avancés réalisées ces dernières années l'ont été sous la contrainte de la crise. Les Européens ont soudain pris conscience de l'ampleur de ce qu'ils pouvaient perdre et le recul qu'aurait représenté un effondrement de la zone euro et, plus largement, de l'Union européenne. Nous regardons nos parents, nos grands-parents et les pères fondateurs de l'Union et réalisons qu'il ne faut pas leur donner l'impression que nous bradons une construction qui avait une véritable signification après la guerre.

Nouvel an : 14 bonnes résolutions pour un libéral


14 bonnes résolutions pour promouvoir efficacement les idées libérales.
Texte traduit et adapté pour un public français par le Parti libertarien.
1. Je m’engage à promouvoir la liberté en faisant appel à l'intérêt personnel de chaque personne, plutôt qu’en essayant de convaincre des personnes d’adopter ma conception du bien et du mal.
2. Je m’engage à éviter d’entrer dans des débats. Mon but est d'inspirer des personnes à vouloir la liberté, pas de leur prouver qu'elles ont tort.
3. Je m’engage à écouter quand des personnes me parlent de leurs désirs et de leurs besoins. Ainsi, je peux les aider à comprendre comment une société libre peut répondre à ces besoins.
4. Je m’engage à m’identifier, lorsque cela me semble adéquat, aux objectifs sociaux qu’une personne peut viser - un environnement plus propre, une aide accrue pour les pauvres, une société plus solidaire - et à essayer de lui montrer que ces causes seront bien servies dans une société libre, mais jamais par l’État.
5. Je m’engage à faire preuve de sympathie et de respect pour les croyances et les besoins qui poussent les gens à chercher l'aide de l’État. Cela ne veut pas dire que je doive approuver les subventions ou les politiques du gouvernement. Mais si je ne reconnais pas leurs besoins, je n'ai aucune chance de les aider à trouver une meilleure façon de résoudre leurs problèmes.
6. Quel que soit le sujet abordé, je m'engage à revenir toujours au point central : l'individu vivra toujours beaucoup mieux dans une société libre.
7. Je m’engage à reconnaître la chance que j’ai eue d’être né français. Tout projet d'amélioration doit commencer par la reconnaissance des bonnes choses que nous avons. Ne parler que des défauts de la France rendra mon discours ennuyeux.
8. Je m’engage à me concentrer sur tout ce qui pourrait fortement améliorer la situation de la France si elle était dotée d’un État limité et à ne pas m’étendre sur toutes les situations intolérables qui existent aujourd'hui.
9. Je m’engage à me défaire de toute haine, de tout ressentiment et de toute amertume. Ces sentiments sont une perte de temps et me distraient de l’œuvre à réaliser.
10. Je m’engage à parler, à m'habiller et à agir d'une manière respectable. Je suis peut-être le premier libéral qu’une personne va rencontrer. Il est important qu'elle ait une bonne première impression. Personne ne veut entendre le message porté par un messager déplaisant.
11. Je m’engage à me rappeler que l'opinion « stupide » d’une personne est peut-être une opinion que j’ai pu avoir moi-même par le passé. Si j’ai changé, pourquoi ne pourrais-je pas l'aider à changer ?
12. Je m’engage à ne pas élever la voix dans une discussion. Quand le ton monte, personne ne gagne, personne ne change d'avis. Nous n’avons alors aucune chance d’être suivis dans notre quête d'une société libre.
13. Je m’engage à ne pas adopter les tactiques du PS ou de l'UMP. Ils recourent à la diffamation, à l’esquive et à l'intimidation parce qu'ils n'ont pas de réels avantages à proposer aux Français. En revanche, nous proposons la liberté. Nous pouvons ainsi gagner simplement en nous concentrant sur la vie meilleure que nos solutions apporteront.
14. Je m’engage à me montrer courtois dans mes relations avec mes adversaires et à les traiter avec respect, même si la réciproque n’est pas vraie.
(*) Feu Harry Browne a été le candidat du Parti Libertarien à la présidence des États-Unis en 1996 et en 2000.
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Traduction : Philippe Lognoul pour le Parti Libertarien / Adaptation : Alexis Vintray. Transmis par Advocates for Self-Government (ndt : partisans de l’autogestion)